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L’enfant courait vers la fontaine Et ses petits sabots cloutés Scandaient sa naïve rengaine Allègrement sur les pavés. On voyait, printanière aubaine, Un rayon du soleil de mai Caresser l’eau de la fontaine Tendrement pour la réchauffer. Marie-Claude Pellerin - un souriant jour du siècle passé
... et puis, vos commentaires sont bienvenus ! Voilà... c'est tout ! Une seule chose vous demande : n'en
supprimez ou ajoutez aucun mot, aucune phrase ou aucun passage et,
quand bien même imprimé en tout petit au bas de chaque page, gardez le
nom de son auteur... L’enfant courait vers la fontaine Et ses petits sabots cloutés Scandaient sa naïve rengaine Allègrement sur les pavés. Texte Taille 3 Si l'un des petits textes déposés sur ces pages vous rejoint et vous
touche, là où les confidences des âmes se chuchotent alors... n'hésitez pas et servez-vous ! L’enfant courait vers la fontaine Et ses petits sabots cloutés Scandaient sa naïve rengaine Allègrement sur les pavés. | ||||||||||||||||
