ACTE 4
Faudra-t-il à présent
- Puisque plus rien sans toi -Qu'ils me surnomment « l'autre », Celui dont ils épient Des larmes les sillons Dans les yeux, sur les joues ? Faudra-t-il désormais - Amputé depuis toi - Que pour eux je sois « l'autre » Dont ils lorgnent, indécents, La marche solitaire A rebrousse-tendresse ? Faudra-t-il ici-bas - Jusqu'à ciellement toi - Qu'ils crient en me zieutant Longer l'éternité : « Venez tous et voyez « L'autre » qui va sans l'un... »
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