Jours mutilés de toute aurore Où l'élan pétrifié du temps Coule au boueux du non désir...
Regards privés de transparence Et dont les pupilles éteintes Croupissent au gouffre du désastre...
Sera-t-il apte le Murmure À réanimer, délicate, La limpidité des aurores Ressuscitant en nos yeux morts L'étincelle de notre en-Vie ? |