Du faisceau-plume de ses cils Puisant à ses yeux l'espérance, Il reverdit tous les avrils De mon cœur-jachère en vacance.
Puis tout près du Ciel il cueillit Cent bouquets pailletés de fête Qu'il sema sur ma froide nuit Pour faire un jardin dans ma tête.
Enfin : pour tirer du coma Mon trompe-deuil en taupinière, À mon regard il dessina Un grand papillon de lumière. |