En navrant équilibre
Sur ses pieds… plus de biche
Meurtris d’yeux-de-perdrix
Et le tronc racorni
D’où pendouillent, abattis,
Deux bras rhumatisants
Inertes et sans élans
Il tente d’entrevoir,
À travers la gerçure
De ses paupières rêches,
Si l’épais vert-de-gris
Salpêtrant sa carcasse
Pourra faire illusion
... et verdoyer le noir
de sa désespérance… |