Il disait, de son ailleurs : « N'empêchez pas la musique Source intime de vos cœurs, De ruisseler, poétique,
En votre jardin secret Épuisé par trop de larmes Aux novembre du regret. Sans bruit déposez vos armes
Et n'appelez plus la mort D'une inlassable supplique Implorant le réconfort. ... N'empêchez pas la musique ... »
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