L'AIR DE RIEN...
Hé non, décidément, le livre de la Bible ne manque vraiment pas d’air… … toujours. Infiniment ! À peine l’ouvrons-nous que, dans un tourbillon, le Souffle qui déjà planait sur l’encre noire d’avant le liminaire, nous envole à Sa suite, tout comme on se promène, pour nous faire assister au divin façonnage de… nos premiers parents désirés par le Père, et dans le nez desquels, l’air de rien, Il insuffle Son haleine de Vie… … toujours. Infiniment ! Aussi rien d’étonnant – puisque tel Père, tel Fils ! – qu’avançant, l’air de rien, sur l’encre de ses pages, Jésus dans l’Évangile sache parler au vent agitant, nuitamment, l’encrier de la mer sur laquelle à l’aurore, dans le Souffle du jour, Il marche à la rencontre, tout comme on se promène, de Ses amis pêcheurs… … toujours. Infiniment ! Dès lors à Pentecôte : la première du Livre et celle, pas si lointaine, de nos calendriers… … dès lors à Pentecôte, quoi de plus naturel que, dans un tourbillon, l’Esprit époustouflant envoyé dans nos cœurs par le Père et Son Fils nous envole au dehors, tout comme on se promène, pour écrire, l’air de rien, à l’encre de nos mots, la suite de la Bible qui, au fil de Son Souffle, ne manquera pas d’air… … toujours. Infiniment !
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