« Ô Dieu ! » remerciait le petit poète « Que Votre Église est belle ! Votre Église marine Où j'avance pieds nus En plein cœur de la nef Sur un sable si doux Que, même à deux genoux Lorsque je Vous adore, Je ne me blesse pas.
Que les fugues sont pures Qu'interprètent les vagues Aux grands jeux du mistral Sous la voûte des cieux
Et que Votre Lumière Aux vitraux des nuages Sent bon Votre Présence ! » |