D’abord comme les arbres Au Souffle de novembre, Laisser se détacher Un à un les feuillets De mes âpres croyances Et voiler ma mémoire D’une écharpe de nuit Diaphane et silencieuse
… puis, sur la sente en friche de mon jardin d’hiver, avancer doucement vers l’étrange mystère que Dieu, insaisissable, voudra me dévoiler … peut-être … |