Comme un timbre sans voix Collé à l’angle mort De ma peau de nomade Errant à Ta recherche...
Comme un timbre sans voix Ton silence me crie De déchirer le sceau De mon être hermétique Pour qu'au tréfonds confus De mon âme en déroute Nous suivions Toi et moi Le courant des non-dits D'où jailliront, limpides, Un peu de qui Tu es Et qui je suis vraiment ... Dans mon île accolée À Ton Éternité. |