Progressivement, son amour malade Guérit à rebours et se transforma - ô sombre destin d'un cœur-barricade - En type affligeant d'un vrai « ruoma ».
« Triste ? Un ruoma ! N'est-ce pas... un rhume ?! » « Nenni ! Point du tout ! Ne souriez pas ! C'est le mal d'un cœur noyé sous la brume D'un faux deuil en gris qui sonne le glas
À l'écho d'un homme, ulcéré de peine, Soûlant sa douleur d'un vain calembour ! » Ruoma l'endroit : recto de la haine, Envers un fantôme à forme d'amour... |