Silence foudroyant De ma tête en délire Où je n'entends plus rien Que le martèlement De ma fébrile angoisse...
Silence omniprésent De ma lente agonie...
Encloué de douleur Et cœur dilacéré Par degrés je m'enfonce Au sein d'un Au-delà D'où jaillira, divin, Le Souffle de la Vie À l'écho de ma mort. |