… et – comme un condamné à vie à la frontière de ta mort où j’attends que l’on me délie de tout ce qui retient mon corps – Éperdument je me souviens Quand tu disais, prenant ma main :
« Ta terre à toi … elle est mon Ciel ! »
… et je voyais tes rêveries fourmillonnantes d’irréel peindre au néant de chaque nuit une éternité de lumière : toile d’esprit sur fond lunaire toile de cœur dans l’infini où par ta mort enfin tu vis. |